Achat d'articles de tout niveau

L'homme lézard se tasse légèrement en écarquillant de plus en plus les yeux au fur et à mesure que l'ombre imposante de Vakor l'enveloppe : et dire qu'il n'est qu'une nouvelle recrue ! Il le devine à son choix d'article, et pour une fois, le marchand ne s'en mêle pas.
Ce type lui file la chair de poule !
Triturant nerveusement ses doigts griffus les uns avec les autres, il fait siffler sa langue dans l'air avec désapprobation quand le guerrier crache à ses pieds, mais se contente de les bouger sans protester. Qu'il paye et qu'il parte, vite !

S'inclinant, il suinte une salve de mots mielleux :

"Mais bien ssssssûr messsssire, sssservez-vous messsssire !"

Et une fois n'est pas coutume, il attend que Vakor soit reparti pour vérifier l'authenticité de ses pièces d'or !

*Je déteste ce genre de guerrier ! Impossible de les arnaquer sans perdre un membre !*

Jivakka se tient à quelques mètres de la caravane faisant foi de boutique pour le campement. Elle attend patiemment que l'homme d'une carrure impressionnante et d'une hauteur vertigineuse s'éloigne pour s'approcher. Voyant cet amoncellement d'objets en tout genre, rien que des vieilleries en plus, son regard se perd. Mais où bien va-t-elle trouver ce qu'elle recherche? Le vendeur ne lui inspire guère confiance. Ce n'est pas cette peau d'écailles qui la dérange mais ce regard qui la fixe comme un prédateur qui fixe sa proie. Prenant un ton confiant et chaleureux, elle lui demande :

"Bonjour Monsieur! Je souhaite une chemise de protection ainsi qu'une potion de mana s'il vous plaît."

Le mielleux marchand s'incline à en toucher le front au sol : voilà une cliente comme il les aime. Gentille, chaleureuse, naïve... et surtout ne faisant pas deux fois sa taille ou quatre fois son poids en muscles !

"Mais bien sssssûr ! Puis-je cccependant me permettre un conssseil ? Si vous achetez tout çççça vous n'aurez plus de quoi vous procurer une arme, or vos petits poings ne doivent pas frapper bien fort tant que vous ne possssédez aucune technique... Je me trompe ???" Devine le marchand, sans mal.
"Peut-être devriez-vous réserver la potttttion pour plus tard ? D'autant que ssssi vous ne possssédez aucune technique, recharger vos points de mana n'est pas néccccessssaire, vous ne vous en ssssservez pas, gente damoiselle !"

Et il s'incline et il s'incline...

Sa'rkhan revient d'une quête particulièrement éprouvante. Il a pris un bon bain dans un étang non loin du campement pour se décrasser, et arrive à présent à la caravane de marchandise, propre comme un sous neuf.
Si ce n'est le bel hématome qu'il a à la mâchoire, et le fait qu'il boite à cause d’une entorse.... Autant dire que son humeur n'est pas au beau fixe.
Mais l'a-t-elle seulement déjà été.....?

L'homme mi-humain mi-créature aquatique aux proportions exagérément allongées pose un regard las sur le marchand en train de s'incliner à n'en plus finir. Allons bon, à qui est-ce qu'il est encore en train de faire ses simagrées...?
Sa'rkhan pose alors enfin son regard de crapaud sur Jivakka, et a un instant d'arrêt. Complètement figé, il la regarde des pieds à la tête sans même se rendre compte que son regard pourrait passer pour du reluquage en règle.
C'est que les jeunes femmes aux proportions aussi agréables à regarder ne sont pas choses communes dans le sparages. Entre la vieille bique et les gros bras prétentieux....

Elle est belle. Sacrément belle. Sa'rkhan cligne des yeux et les détourne très vite comme s'il redescendait brusquement sur terre. Manquerait plus qu'on se rende compte qu'il éprouve de l’attirance pour une de ces saletés d'humaines !! Elle est forcément aussi stupide et arrogante que les autres membres de son espèce.

Cependant, le comportement du marchand agace évidement encore une fois profondément l'humivre, qui souffle exagérément fort en posant soudain 4 pièces sur le comptoir.

"Une potion de vie, dépêche-toi."

C'est qu'il est à un beau niveau maintenant (niveau 2 quoi......), alors plus question de se comporter comme un petit néophyte. Il regarde ensuite la jeune femme et lui tend alors sa potion de Mana récupérer sur un champ de bataille, non sans un brin de timidité malgré son ton sûr.

"Tenez, prenez la mienne. Vous pourrez ainsi acheter une dague."
Il continue de s'adresser à Jivakka, mais regarde le marchand en même temps, l'écrasant d'un regard lourd de sens.
"... bien qu'elle ne vaille pas un clou en réalité, mais ce bougre adoooore se faire de l'argent sur le dos des nouveaux."

Le marchand siffle  d'un air gêné, et s'incline encore et encore, sous les agressions de Sa'Rkhan. Ca va qu'il vient acheter quelque chose, quel caractère !!!
Laissant Jivakka continuer de réfléchir, il s'occupe de l'humivre.

"Mes dagues ssssont très ssssolides, la vôtre vous a-t-elle déjà fait défaut en combat ??? Tenez, une pottttion de vie.... Par contre 4 pièces ce n'est pas suffisant, mes pottttions coûtent 6 or" Fait-il en regardant Sa'Rkhan avec méfiance, sans lâcher la petite fiole.

"Elle est rouillée, cela seul suffit à me porter consterner que vous obligiez les gens à l'acheter."

Rétorque Sa'rkhan en tournant la tête vers le marchand, sans sortir plus de pièces. Il hausse d'ailleurs un sourcil hautain.

"Et je sais que vos potions sont à 6 pièces oui, c’est pour ça que je ne vous en donne que 4. Si elles sont aussi efficace que les cochonneries que vous vendez, c'est même trop. Et étant donné que la dernière fois vous avez refusez une offre EXCEPTIONNELLE pour vous acheter le bâton de Mage, estimez vous heureux que je en vous décapite pas de rage au passage."

Il tend la main pour tenter de récupérer la potion...... toujours aussi amical avec son entourage.

Malgré le léger déséquilibre de sa démarche, l'homme mi-humain mi-reptile fait une entrée majestueuse dans la caravane. Son corps longiligne dégage une sensualité subtile, à peine perceptible derrière son regard sombre et le glacial timbre de sa voix, un doux mélange qui ne laisse pas Jivakka de marbre. N'osant pas trop le regarder, elle rive ses yeux sur la camelote du marchand. Quand soudain il s'adresse à elle et lui tend une potion de mana. Elle prend la petite fiole, et ne put dire que ses quelques mots soulignés pour un sourire:

"..... Merci.... Merci beaucoup..."

Elle reste très statique face à cet élan de générosité, le sentiment de surprise immobilise son corps. Mais à l'intérieure d'elle, elle sent une explosion de sensations qui lui sont étrangères tout en regardant l'homme négocier âprement avec le marchand.

Sa'rkhan tourne spontanément la tête vers la jeune femme lorsqu'elle le remercie ainsi, et se fige complètement.
Elle lui dit merci.... Et sincèrement en plus et..... Et elle est.... gentille avec lui ?? L'homme-vouivre n'en a franchement plus l’habitude. Il faut dire que depuis qu'il est ici, il a réussit à se mettre quasiment tout le monde à dos ! Même le remarquablement gentil Dolatar arrive à s'énerver contre lui ....

Sa'rkhan se retrouve à vouloir faire d'autant plus bonne impression, et se fait un peu plus grand devant le marchand. Il va montrer à Jivakka comme il sait bien s'y prendre ! Et ensuite....

"Jeune demoiselle, vous semblez nouvelle ici. Que diriez vous d'aller boire un verre à ce qui sert d'auberge au campement, pour vous remettre de votre voyage ? Je pourrais vous expliquer le fonctionnement des lieux si vous le désirez."

(Sa'Rkhan perd : -Petite fiole de mana (Nv1) : + 5 Pm/1 Tour/Rev (1 or)
Jivakka gagne : -Petite fiole de mana (Nv1) : + 5 Pm/1 Tour/Rev (1 or) )

Le marchand fronce ses sourcils écailleux et secoue la tête avec fermeté malgré les tentatives d'intimidation de l'homme vouivre :

"Non, et non, je ne fais pas de promottttion, même ssssous la menacccce !!!" Fait-il en rangeant sa fiole avec ses consœurs.

Il se tourne vers Jivakka qui ne lui a toujours pas répondu à propos de ce qu'elle comptait acheter, et il retrouve son sourire mielleux, joignant ses deux mains en les frottant imperceptiblement.

"Alors nous disions, une dague et une chemise ??? Cela vous fera 18 pièces de bel or, s'il-vous-plait...."

Il prépare les deux artefacts, la dague rouillée et la chemise mitée, et attend que Jivakka le règle.

Jivakka reste un bref instant sans voix à l'entente de l'invitation de l'homme-vouivre. Elle ne peut prononcer que ces quelques mots, tant l'émotion de surprise l'assaille.

"Ce sera avec plaisir..."

Sur son visage se dessine un chaleureux sourire spontané, qui masque sa confusion intérieure : elle a l'impression que tous les muscles de son corps se contractent, et sent d'insoutenables pincements dans sa poitrine. Et tout cela cesse, d'un coup, lors que le mielleux et sournois vendeur d'adresse à elle.

Elle regarde la chemise de protection et la dague rouillée que lui tend l'homme-reptile tout en faisant une légère moue.

"Je vous achète la chemise. En ce qui concerne la dague, puis-je vous faire une requête? Je possède cette poignée de rapière et j'aimerais savoir s'il est possible d'installer la lame... drôlement émoussée...de la dague dessus."

Elle fouille dans son sac et en sort une poignée en métal sculptée, un enchevêtrement de motifs floraux.

Le marchand s'incline et opine du chef :

"Cccca me ssssemble être dans mes cordes. Je peux vous faire çççça pour le même prix, d'ailleurs !" Fait-il en empruntant la poignée florale et en se tournant, sortant quelques outils.

Un sortilège de fusion plus tard, la rapière à manche joliment ouvragé est prête. Évidemment, avec cette lame hideuse, ça ne rend pas très bien, mais Jivakka a de quoi se défendre désormais !


(Fiche éditée)

Sa'rkhan a un sourire en coin qui se veut charmeur, alors qu'il est en réalité tout émoustillé qu'une jeune femme humaine -à priori- et aussi belle ne s'intéresse à lui.
Ici, à part des railleries, il n'obtient pas grand' chose ! Une certaine fierté le saisit du coup -comme s'il n'en avait pas assez....- et il meurt d'envie que tous ses ennemis le voient au bras d'une aussi belle femme...

Et puis elle a l'air d'être si douce aussi...
Sa'rkhan surveille le travail du marchand, bien décidé à râler s'il le fait mal, puis reprend à l'attention de Jivakka.

"Je suis bientôt de sortie pour une quête avec un autre homme du camp. A mon retour je vous inviterais à la taverne et... Si d'aventure le coeur vous en dis aussi, nous pourront partir en quête ensemble pour tester votre nouvelle arme ! Je serais ravie de veiller sur vous !"

Akshaya approche du marchand et la carriole. L'apparence de lézard l'intrigue. Elle est à la fois curieuse et mal à l'aise en sa présence. Elle retient les questions qui lui brule les lèvres. Et se présente d'une voix fluette.

" Bonjour. Je m'appelle Akshaya. Je suis nouvelle ici. J'aimerai bien m'équiper. "

Elle prend le parchemin que lui tend le reptile et le lit, tout commentant, ravie.

" Vous avez du choix ! Je prendrai bien la dague. Et je veux bien le pantalon et la chemise aussi... Et... "

Elle s'arrête net, prise d'un doute. Elle sort sa bourse, vide les pièces dans sa main et compte. Finalement, elle secoue la tête.

" Euh... En fait, je n'ai que 20 pièces... Du coup vous me conseillez quoi ? "

L'homme Lézard affiche un sourire carnassier et fait siffler sa langue entre ses lèvres. Il adooore les acheteurs compulsifs.

"Mais bien sssssur que je vais vous consssseiller chère cliente."

Il se retourne et sort d'un coffre rouillé une dague élimée ressemblant trait pour trait à toutes les autres vendues précédemment.

" Et voissssi la nouvelle collecssssion d'arme printemps-été, ainsi qu'un magnifique pantalon léger, qui vous garantit ssssouplessse et agilité . Ssssa vous ferra 18 pièces d'or !"

Annonce-t-il comme si la jeune femme avait déjà accepté sont offre.

Akshaya est touchée que le marchand porte autant d'attention à sa requête en choisissant particulièrement les articles du coffre. La dague et le pantalon qu'il lui présente semblent parfaitement convenir. Mais elle n'y connait strictement rien.

" La collection d'armes printemps-été ! Wouah ! Chouette ! Est-ce qu'elle change de couleur, jette des fleurs, des rayons de soleil ou un autre truc cool ? "

Enthousiaste à cette perspective, elle remet 2 pièces dans sa bourse.
Soudain saisie d'un doute, son poing reste fermé sur les 18 pièces restantes.

* La collection printemps-été... Mais la nouvelle collection, c'est pas plutôt automne-hiver ? *

" Dites, vous comptez faire des soldes sur la collection printemps-été ? "

"Euuuuuheeeeebieeeeeen..........."

Sacrebleu, que lui a-t-il pris de parler de collection printemps-été à une jeune femme qui s'y connait fatalement mieux que lui, qui n'est qu'un vieux grigou ! Il lorgne désespérément sur les piècettes qu'il voit briller entre ses doigts, ayant l'impression qu'elles sont juuuuuuuuste à portée, mais qu'il risque de devoir s'en passer.

"Leeees.... négoccciatttions avec mes fournisssseurs ont été difficcciles ccces derniers mois et j'ai bien peur de ne pouvoir faire de rissstourne à quiconque si je veux continuer de fournir au camp mes meeeeerveilleux objets."

Il ose même un petit sourire maladroit, tendu, comme un rictus, espérant que ça passe.

" Oh. C'est vraiment vraiment dommage..."

La déception passe sur le visage d'Akshaya, mais ne dure pas très longtemps avant que des rêves de grandeur lui redonne le sourire.

Elle sent la puissance, l'électricité. Ses mains la picote. Elle voit la foudre au creux de sa main, giclant, explosant des créatures diaboliques. Elle sauvera le monde, c'est sûr... Elle sera la plus grande sorcière de tous les temps.
Mais avant, il faut qu'elle apprenne les bases, qu'elle s'entraine... Et pour ça, pas le choix, peu importe le prix, il faut qu'elle prenne l'équipement qu'on lui propose.

Elle pousse un soupir boudeur et tend les pièces au marchant

"  Bon bah tant pis. Je prends la dague printemps-été et le pantalon quand même ! "

Le Marchand prend prestement les pièces que lui tend la jeune fille avec un sourire vainqueur. Il ne tentera quand même plus cette technique de vente à l'avenir, trop risqué.

Il secoue le pantalon histoire de dégager les mites discrètement et le plie grossièrement pour le poser sur le comptoirs, puis il pose la dague par dessus.

"Au plaissssir mademoissselle " Siffle-t-il avant de retourner à ses affaires.

( Contre 18 pièces d'or, Akshaya gagne :
-(Arme m. d.)Dague rouillée (Nv1) : Dég 1à4 + Fo/1 Tour/Non rev
-Pantalon en toile élimée (Nv1) : Déf+1/Non rev )

Dès que l’homme vouivre a fini de prononcer ces mots, une jeune femme vêtue de couleurs chatoyantes entre dans la caravane et captive l’attention du vendeur.

Jivakka sent une légère chaleur envahir ses joues. Les paroles de cet élégant jeune homme, prononcées avec un timbre de voix si doux, ont un effet enivrant sur elle. Elle aimerait les entendre encore et encore… Plus que perturbée, elle prend grand soin de poser chacun de ses mots afin que le trouble qui l’habite ne transparait.

« Je vous remercie de la bienveillance que vous portez à mon égard. Je serais ravie de partager ce moment à la taverne en votre compagnie. Je pense que ce sera un plaisir de vous entendre me raconter le déroulement de votre quête à venir. J’espère que celle-ci ne sera pas trop pénible avec votre cheville qui semble vous faire souffrir.

Près de ma tente, se trouve du plantain, une herbe fabuleuse pour les entorses. Et associer avec de la prêle que je trouverai certainement près des marais de Loc-en-Tourbe, je fais pouvoir vous préparer un baume apaisant. Je le déposerai devant votre tente. »

« Faites bien attention à vous. »

Elle prononça ces derniers mots avec un chaleureux sourire aux lèvres. Le cœur de Jivakka bat à toute vitesse, elle a réussi à lui dire tout cela sans trépasser.

Elle se dirige vers le comptoir, récupère la dague ainsi que la chemise. Elle regarde attentivement la dague.

*C’est plutôt du bon travail, et en plus la main d’œuvre est gratuite, finalement, l’avidité ne le ronge pas jusqu’aux os.*

Elle les range dans son sac, puis dépose 18 pièces d’or sur le comptoir. Tout en continuant de négocier avec l’autre cliente, le vendeur tend le bras pour rafler les pièces. Elle fait un petit signe timide de la main au bel homme vouivre et s’éclipse discrètement.

( Contre 18 pièces d'or, Jivakka gagne :
-(Arme m. d.)Rapière ouvragée rouillée (Nv1) : Dég 1 à 4 + Fo/1 Tour/Non rev
-Chemise en toile élimée (Nv1) : Déf+1/Non rev )

Aya qui se promène dans le camp voit un homme lezard qui vend des breloques. Elle s'approche de la table marchande et demande la liste de c'est article du marchant que celui-ci lui tend immédiatement. Elle voit qu'il y a une dague à vendre à 8or.

*Elle peut au moins m'apporter quelque chose mais or de question que je l'achète pour se prix* Pensa celle-ci
"Je vous rachète votre dague pour 4or"

A l'arrivée d'Aya, l'humanoïde s'était bassement incliné comme à son habitude, mielleux, mais la suite le fait soudain changer d'attitude.

"Non, pas quesssstion."Contre-attaque aussi sec le marchand, faisant siffler sa longue langue reptilienne dans l'air.

Il est trapu et n'arrive pas plus haut que la poitrine généreuse d'Aya, à laquelle il semble tout à fait insensible. Ses petits pieds griffus bien plantés dans le sol, ses bras courts et épais croisés sur son buste, il se tient le plus droit qu'il puisse devant la superbe elfe qui tente -ô sacrilège- de marchander ses prix prohibitifs.
Même en se dressant au maximum, l'escroc fait toujours plus d'une tête de moins mais ne semble pas en être intimidé.

"Vous payez le prix indiqué ou vous sssssortez trouver un autre marchand qui brade ssssa marchandise !" Assène-t-il, bien conscient qu'il n'y a pas d'autre marchand à la ronde.

Aya s'incline devant le reptile pour être à la même hauteur que lui et lui souffle: "8or car nous les Elfe, nous avons une paroles d'honneurs contrairement à vous et c'est bien parce que j'ai besoin de cette dague mais la prochaine fois, vous ne vous en tirerai pas en si bon compte. Je me ferais bien un nouveau corset avec votre peau"
Aya tend 8or au marchant

Le reptile lui prend l'or des mains dans un sifflement agacé, et mauvais. Il mordille les pièces pour vérifier qu'elles se tordent bien comme il se doit, et non qu'il s'agit de fer peint de poussière d'or.

*Qu'elle essaye donc de me dépecer, elle verra bien à qui elle a affaire cette péronnelle !*

Sans un mot, il dépose dans les mains d'Aya une dague rouillée qui semble à peine tenir debout. Cependant l'elfe peut très vite se rendre compte que ce n'est qu'une impression, l'arme blanche fera tout à fait son travail face à un adversaire.

(Aya gagne (Arme m. d.)Dague rouillée (Nv1) : Dég 1à4 + Fo/1 Tour/Non rev
Aya perd 8 pièces d'or)

Aya s'en va en admirant la dague et jette un dernier regard méprisante au marchant. Avant de repartir vers la zone d'entrainement. *Elle n'est pas aussi belle que celle de grand-mère mais dans les main d'une Elfe, elle peut faire des ravages. Allons tout de suite la tester*
Elle se promet aussi que la prochaine fois, elle ne se laissera pas avoir.