Achat d'articles de tout niveau

Le marchand reptilien vous regarde en souriant étrangement -mais ce n'est sans doute qu'à cause de son faciès de serpent- attendant que vous lui annonciez quel article vous intéresse. Les pattes griffues sur ses hanches, il propose :

"N'héssssitez pas ssssi vous avez besssssoin d'un rensssseignement..."

"Bonjour mon brave !" Lance une voix forte tout près de la caravane.

Dolotar sourit pleinement au reptile, et sans s'offenser des tarifs, annonce en sortant de sa bourse 8 pièces d'or :

"Je suis pas bien riche, mais je crois que j'ai assez pour m'offrir cette petite dague pas si mal affûtée que vous présentez-là !"

Le reptile prend prestement les pièces que lui présente son client et les vérifie unes à unes. Il saisi ensuite la dague désignée par Dollar et lui tend.

" Voilà monsssieur, sssi vous desssirez autre chosssse revenez me voir"

"Merci mon brave ! J'hésiterai pas !"

Le massif Dolatar tourne les talons et, attachant soigneusement sa nouvelle arme à la ceinture, se dit qu'il va aller voir de plus près la zone à l'entrée du camp où quelques combattants semblent s'entrainer. Après tout, il n'est pas venu ici pour se tourner les pouces !

Berthilde inspecte depuis de longues minutes la marchandise du reptile, alternant grimace et souffle dépité. La seule arme à la portée de sa bourse ne pourrait même pas percer la peau d'un lapin. Après tout, elle n'a pas bien le choix, elle ne va quand même pas se défendre à coup de poing.

"Je voudrais le silex là et la chemise à trous.... escroc..."

La dame vide presque tout le contenu de sa bourse sur le comptoir du vendeur.

* Et beh, va falloir te refaire ma vieille.*

Le vendeur ne s'offusque pas des remarques désobligeantes et semble même s'en amuser, devenant encore plus mielleux :

"Maiiiis avec grand plaisssssir madame !"

Il tend à la combattante la dague élimée et une chemise qu'il plie soigneusement, comme si ce chiffon était un tant soit peu précieux... Après avoir bien recompté plusieurs fois les 18 pièces d'or.

"Moué..."

Elle prend ses achats d'un geste sec et s'éloigne en direction de la zone d’entrainement.

* Il faut que je me fasse la main avec ce machin, je sens qu'il va falloir tout reprendre à zéro*

Sa'rkhan a fini son repas très protéiné et se dirige à présent vers la boutique de marchandise, croisant au passage la vielle dame à l'air si ronchon.

*décidément, ça va être la joie aussi.....*

Il regarde le marchand en haussant un sourcil en découvrant son apparence, avant de jeter un oeil à son inventaire.

*non mais c'est pas vrai, je suis vraiment sensé gagner en expérience avec des frusques pareilles ?! Soupir......*

"hem... bonsoir... je voudrais une dague s'il vous plait et cette chem--" *Argh non, jamais je pourrais mettre un truc pareil sur mes épaules !! Bon, ben......* "ha, plutôt le pantalon là."

Le marchand regarde alternativement la longueur des jambes de son client, et le pantalon.

"Mmm, tout à fait à votre taille en plussss !" Flatte-t-il, quand le vêtement lui arrive au-dessus des chevilles."Vous voilà paré pour les quêtes !"

Il tend les objets à Sa'Rkhan, et empoche ensuite les 18 pièces d'or avec gourmandise.

" Ha... ha... ha."

L'aventurier le regarde d'un air franchement blasé et lui arrache limite la marchandise du comptoir pour manifester son mécontentement.
Il lui lance un regard qu'il espère suffisamment glacial, avant de s'éloigner.

*bon... avant d'aller s'entrainer une quête de taille s'impose : laver ce truc dégueulasse avant de le porter.*

Arotlan s'avance près de la caravane et commence à inspecter les différentes armes et armures qui s'offre à lui.
Le choix est assez limité et il est le seul marchand du coin.

* Ne faisons pas le difficile, même si les prix sont exorbitants au vu de la qualité de la marchandise*

" Salut à toi ! J'ai assez d'or pour cette  dague et ce pantalon ! je te prend les deux."

Toujours de nature méfiante arotlan tapote la dague sur l'étalage au cas ou la lame se briserai du au faible choc. Rien ne se passe... Puis il ouvre sa bourse et donne l'or contre sa marchandise.

Le marchand plisse les yeux et se frotte les mains sans même essayer de le cacher.

"Mais tout de ssssuite monssssieur ! Cccc'est un plaissssir de faire affaire avec vous..."Minaude-t-il en lui tendant dague et pantalon avec cérémonie.

C'est presque avidement qu'il récupère les 18 pièces d'or, et les met dans sa bourse.

Une divine odeur de crasse mêlée de sueur flotte soudain dans l'air tandis que le gros Dolatar arrive tout guilleret.

"Bonjour, ami marchand ! Est-ce que par hasard, t'aurais pas une tunique à ma taille ? Tu vois genre.......... bien large !" Fait-il en mimant une distance conséquente avec ses deux grosses paluches."J'ai un peu d'or et je pense que cette belle armure ne sera pas de trop pour la quête que je prévois de faire !"

Le marchand renifle en voyant Dolatar entrer. Il se rappel de l'homme odorant et de son aisance à ouvrir son porte monnaie. Il sens la bonne affaire et propose alors à son client une tunique à moitié décousu sur le côté.

"Ccccelle ssssssi vous irai à merveille, vous n'êtes pas sssssssi large mon ami ! "

Dit il en esquissant un sourire commercial et en encaissant les pièces que lui présente le pigeon.

Le brave Dolatar prend la chemise aux épaules et tendant les bras devant lui, l'admire dans un sourire :

"Haaaa parfaite ! En plus c'est bien, il y a une ouverture sur le côté, pour que mon bide soit plus à l'aise ! Merci mon bon !"

Et il sort, ravi de cette bonne affaire, comme d'habitude sans voir le mal nulle part.

Gigoldo arrive vers la caravane, veillant à ce que trop d’œils indiscrets ne scrutent ce qu'il tient précieusement enfermé dans son fourreau de cuir.

*Voleur ! Voleur... Vermine à écaille!*

La vue de l’humanoïde reptilien ne lui inspire guère confiance, mais aucun autre commerçant, forgerons, artisans à des kilomètres à la ronde ne semble tenir échoppe.

"Bonjoooour l'ammmiii... Nous avons une... Vieiiiiiiille dague, le pommeau cassé, si précieuse, c'est fort dommage elle nous allait si bien. Et si tranchante... Nous y tenonnnns beaucoup !

L'homme tend alors sa relique au marchant, le suppliant :

"Contre quelques piécettes dorée, brillantes, pouvez-vous... Oui... Cher marchant, redonner une nouvelle vie à notre chèèèèèree et teeeennndre ! Bois, Corde ferons l'affaire ! Nous nous en contenterons ! "

Le marchand qui jusque-là arborait son sourire faux et mielleux, s'incline bassement devant son nouveau client.

"Mais bien sssssûr, je peux vous faire ccccela aisément. Laisssssssez-la moi quelques heures et elle ssssera comme neuve... Il vous en coûtera 8 piècccces d'or." Précise-t-il, plissant ses yeux reptilien avec gourmandise.

Il étend ses pattes griffues vers Gigoldo pour lui prendre son arme vétuste, la tête inclinée, comme s'il s'agissait d'un puissant seigneur.

Maêlik s'approche de la carriole pour regarder de plus près les articles proposé par cette "homme" lézard peut rassurant. le choix n'est pas multiple il va avoir besoin de cette dague aussi rouillée soit elle.

"Mes respect Marchand je souhaite acquérir cette dague ainsi que cette petite fiole de vie je vous prie..."

* on est jamais trop prudent*

Maêlik verse la somme exact sur le petit comptoir du marchand

Gigoldo exécute. Il salua cordialement Maêlik.

"Monsieuuur..."

Ne faisant confiance à quiconque, il préfére garder un œil sur son objet.

*Vile ... et fourbe*

"J'attendraaaiiii... Juste devant... là ! Oui ! Devant!"

Il se retire à quelques pas, attendant la fin du travail du marchant. Il commence alors à se tapoter frénétiquement la joue avec l'index pour patienter.

Le marchand, tout heureux d'être débordé vu que ça annonce des pièces sonnantes et trébuchantes, s'incline plus bas que terre devant Maêlik, embrassant presque ses pieds :

"Mais bien ssssssûr messsssire ! Tenez... Ma plus belle dague et la plus exquise de mes potttttions ssssont pour vous !" Fait-il, se jetant presque sur les 14 pièces d'or que cela coûte.

Il disparait ensuite dans sa caravane et en sort quelques outils, dont une pierre pour aiguiser la vieille dague usée de Gigoldo. Quelques instants plus tard, il la tend à son ancien propriétaire, et s'empare des 8 pièces d'or.

"Cccce ssssera tout mon ssssseigneur ? Nous avons icccci de bien belles armures de toile qui vous iraient parfaitement au teint........."Tente-t-il, essayant d'extorquer un maximum d'argent à ses clients.

Maêlik récupère sa marchandise glissant la dague rouillée à son ceinturon et attache solidement la potion au niveau de son goulot n'ayant pas pris son baluchon avec lui

" Non cela ira ,Je vous remercie, que les anciens vous guide Marchand"

*Je trouverais mieux durant mes quêtes inutile de gâcher plus d'argent comme cela*

Maêlik s’éloigne de la caravane pour retourner à sa petite tente de fortune

Ne se préoccupant nullement de Gigoldo qu'il souhaite désormais éviter, Holo v.6.0 passe devant l'étrange homme pour parler au marchand.

"Marchand, j'ai en ma possession un bâton qui n'est plus trop solide. Oh! Il ne me sert pas à grand chose mais j'ai un attachement particulier avec celui-ci puisque je l'ai ramassé après avoir fui un campement d'hommes-lune. Vous connaissez cette peuplade? Non? Oh! Forte intéressante. Elle ne vit que la nuit. Etrange, non? Et la nuit, ils peuvent vous débusquer même si vous êtes bien cachés! Combien pour une réparation?"

Le reptile humanoïde ouvre la bouche à plusieurs reprises pour parler mais la referme systématiquement en sifflant avec agacement. Allons bon, qu'est-ce que c'est que cette boîte qui parle ?!..Trop, en plus...
Il finit cependant par retrouver le sourire quand il comprend que l'étrange créature de bois est là pour dépenser des pièces d'or.

"Ccccela vous fera 8 piècccces d'or pour mes très humbles ssssservicccces homme mécanique..."S'incline-t-il bien bas, tendant déjà les mains pour récupérer le bâton, espérant faire affaire.

"Oh! Pas tout mécanique. Mais c'est une autre histoire. Bon où ai-je mis ce bâton? Pas là.. Ni là.. Encore moins ici.."

Il tâte tour à tour chacun de ses membres.

"J'y suis. Dans ma cache."

Il ouvre sa trappe ventrale et en sort un bâton pas plus grand qu'un avant bras mais assez épais. Pas une bûche, ni une baguette. Un vulgaire bâton.

"Tenez mon brave monsieur. Mais dîtes-moi.. Qu'êtes vous?"

"Base de données raciale incomplète: espèce inconnue."

Le reptile attend, incliné, faiblissant un peu, quand enfin il peut récupérer le foutu bâton... Allons-bon, ce n'est qu'un bête bout de bois ! Il retrousse ses manches pour commencer à l'enrouler de cuir tanné pour le solidifier. Il regarde Holo du coin de l’œil:

"Les humains appellent mon peuple les reptilians, parcccce que les humains ne ssssont pas réputés pour leur grande imagination. Le nom de ma racccce est imprononççççable pour un membre extérieur. Vous n'êtes pas munis d'une langue assssez habile...
Tenez messssire, voicccci une arme qui tiendra bien la route !"

Et d'empocher rapidement les 8 pièces d'or.